Originaire de Rigaud, récemment résidant d’Outremont, c’est à l’Assommoir, rue Notre-Dame, que Maximiliano a fait ses classes. « Nous avions une latitude de création incroyable. Avec plus de 300 cocktails au menu, l’Assommoir, c’était un grand terrain de jeu ».
Aujourd’hui, après quelques années de métier, sa signature, ce sont les cocktails classiques revisités à la façon Maximiliano. Son préféré : le Old-fashioned. « Je juge beaucoup la qualité d’un établissement et de son bartending à la façon dont il le serve ». D’ailleurs, c’est tout récemment qu’il a dégusté son meilleur Old-fashioned, préparé par le Chef bar Andrew Whibley au Cloakroom, rue de la Montagne dans le Golden mile.
du bartender à Montréal?
Maximiliano se retrouve soit au Huis Clos ou au Midway, autant pour la carte de cocktails impeccable que l’ambiance chaleureuse.
Originaire de Rigaud, récemment résidant d’Outremont, c’est à l’Assommoir, rue Notre-Dame, que Maximiliano a fait ses classes. « Nous avions une latitude de création incroyable. Avec plus de 300 cocktails au menu, l’Assommoir, c’était un grand terrain de jeu ».
Aujourd’hui, après quelques années de métier, sa signature, ce sont les cocktails classiques revisités à la façon Maximiliano. Son préféré : le Old-fashioned. « Je juge beaucoup la qualité d’un établissement et de son bartending à la façon dont il le serve ». D’ailleurs, c’est tout récemment qu’il a dégusté son meilleur Old-fashioned, préparé par le Chef bar Andrew Whibley au Cloakroom, rue de la Montagne dans le Golden mile.
Existe-t-il une culture du bartender à Montréal?
De plus en plus à Montréal, on voit des gens qui suivent un bartender précis et qui vont dans tel bar tel soir pour profiter de ses cocktails. Mais c’est tout nouveau. Le bassin de bartenders commence à peine à grandir. Ce sont les gars de 35-40 ans qui ont entraîné un groupe de jeunes bartenders qui maintenant ouvrent leur propre établissement.
La culture du cocktail est très jeune ici. Les gens commencent à peine à essayer un cocktail avant le souper. Quand j’ai débuté aux Enfants Terribles, 80 % des gens prenaient du vin et 20 % de la bière. Maintenant, je dirais qu’on tourne aux alentours du 60 % du vin et de 25 à 30 % un cocktail. « Je suis allé chercher mes clients un par un en leur faisant redécouvrir les classiques ». Si vous lui demandez ce que son cocktail goutte, il vous répondra assurément « ça goutte le ciel ».
Maximiliano attache aussi une importance aux médias sociaux qui, selon lui, contribue au mouvement actuel de star system chez les bartenders montréalais. « C’est après ma première compétition de Made with Love, que j’ai ouvert mon compte Instagram. Je trouve ça important de faire sentir ma présence sur les médias sociaux et de voir qui me suit. Je fais maintenant des posts réguliers autant pour mon compte perso que pour celui des Enfants Terribles ».
#brasserieet
#maximiliano.valletta
Lorsqu’il sort à Montréal pour prendre un verre, Maximiliano se retrouve soit au Huis Clos ou au Midway, autant pour la carte de cocktails impeccable que l’ambiance chaleureuse.
Maximiliano se retrouve soit au Huis Clos ou au Midway, autant pour la carte de cocktails impeccable que l’ambiance chaleureuse.